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vendredi 12 mai 2017

CHAPITRE 9 – LES GRANDS RÉVEILS,
POST #1: LE RÉVEIL DES CONSCIENCES

Note: Dans le volume «Vérités qui dérangent, ...ou mensonges qui rassurent?» c'est le chapitre 10.

Après 3 siècles, le feu de la Réforme s’était affaibli et plusieurs églises avaient perdu leur zèle. Elles retournaient petit à petit vers la tradition, ce que la Réforme avait combattu. C’est alors que des prédicateurs itinérants ont commencé à parcourir les villes et les villages pour prêcher à nouveau l’Évangile de la Bonne Nouvelle et pour distribuer des Bibles. Ils encourageaient les gens à retourner à la Parole de Dieu et à changer leur conduite. Beaucoup de personnes ont retrouvé la flamme et se sont conformées aux enseignements des Évangiles.

À la même époque, d’autres ouvriers de la moisson ont fondé des sociétés bibliques qui se sont donné comme mission de traduire, imprimer et distribuer des Bibles dans le monde entier. Plus récemment, en 1917, John H. Alexander fondait la Société Biblique de Genève avec laquelle la maison d’édition les « Distributions Évangéliques du Québec » collabore depuis près de 40 ans en produisant des instruments d’étude des textes bibliques que la société a publiés.

Durant les grands réveils, on a vu apparaître aussi des instituts bibliques pour enseigner les Saintes Écritures. Aux États-Unis, des séminaires théologiques de renom ont vu le jour. Et, pour annoncer la Bonne Nouvelle du salut en Jésus-Christ et l’amour de Dieu jusqu’aux confins de la terre, des sociétés missionnaires ont été fondées. Certains des missionnaires légendaires de ces missions sont devenus des modèles de dévouement et d’entraide humanitaire pour les gens dans le besoin de plusieurs pays.

Des croyants, animés par des principes bibliques de compassion pour leurs concitoyens, ont mis sur pied des organismes ou des mouvements visant à soulager la détresse humaine, tels que la Croix Rouge, les YMCA, l’abolition de l’esclavage, etc. Des hommes et des femmes ont consacré leur vie à prendre soin des orphelins, des sans-abri, des jeunes gens abandonnés dans les rues afin de leur témoigner l’amour de Dieu et de leur venir en aide.

Le fondateur de l’Armée du Salut, William Booth, aimait répéter souvent ces paroles:

        Tant que des femmes pleureront, je me battrai
Tant que des enfants auront faim et froid, je me battrai,
Tant qu’il y aura un alcoolique, je me battrai,
Tant qu’il y aura dans la rue une fille qui se vend, je me battrai,
Tant qu’il y aura des hommes en prison, et qui n’en sortent que pour y
            retourner, je me battrai,
Tant qu’il y aura un être humain privé de la lumière de Dieu, je me battrai,
Je me battrai,
Je me battrai,
Je me battrai

Anita DeMers

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« Vérités qui dérangent... ou mensonges qui rassurent? »

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En 2017, nous fêtons les 500 ans de la Réforme et les 100 ans d'existence de la Société Biblique de Genève.